Salut les Suiveurs ! Je pense que je n’ais plus a me présenter, tellement nous avons vécu d’aventures tous ensemble, mais je le ferais quand même par principe.
Mes parents m’ont appelés Eta à ma naissance. Fils de mineur, je n’étais pas destiné à une grande carrière d’aventuriers. D’après mon père, « Eta » voudrait dire « paysan » dans un langage d’une lointaine contré. Comment voulez vous entrer dans l’élite de la garde royale avec un nom pareil. Me mère est morte en couche, à croire que j’étais vraiment un fardeau… Mon père m’apprit à manier la pioche, pendant que d’autres apprenais à manier l’épée et le bouclier. Il m’apprit la connaissance de divers matériaux pendant que les autres délivrais des princesses glorifiant leur réputation. Durant ma jeunesse, j’aidais mon père à la mine et dans d’autres taches ménagères, pendant que des aventuriers voyageaient pour terrasser les viles créatures menaçant la région.
Mais vint un jour ou mon père eu cet accident de mine. Il ne survécut pas… paix à son âme ! J’étais livré à moi-même, devant décider de mon destin. Je pris donc mon paquetage et partit dans la direction d’une étoile qui était différente des autres, laissant derrière moi la maisonnette au toit de chaumes ou j’avais passé mon enfance…
Mais la vie est dure pour un jeune voulant entrer dans la vie active. Les gens vous regarde comme un étranger puis vous ignorent lorsque vous prenez la parole. L’Hiver est rude pour une personne qui ne trouve pas un toit pour s’abriter. La populace n’est pas très généreuse lorsque vous leur mendier le moindre Kama ou le moindre bout de pain.
Jusqu’au jour où, alors que je quémandais sur le pont recouvert de neige, surplombant une rivière gelées par le froid de l’Hiver, une silhouette sombre s’arrêta devant moi. Il avait un air droit et noble, un poil très sombre avec des yeux rouges, a peine percevable a cause de son grand couvre-chef, qui me fixaient, une queue qui vaguait de droite a gauche dans un rythme régulier, et une épée accrocher à sa ceinture. C’était un Homme chat.
Je ne pourrais vous raconter avec exactitude la conversation que nous avons eu tellement j’étais impressionné et intimidé par ce personnage. Il se présenta comme le Seigneur Kuroïneko, de la race des Ecaflips et de la guilde « Bushido », et après avoir écouté mon histoire, il se proposa de me prendre en charge comme serviteur ayant besoin de mes services.
Ce fut après un long voyage que nous arrivâmes à Amakna. Il me présenta à la guilde comme étant son nouveau serviteur. C’est à partir de ce jour que je devins un membre de la guilde « Bushido ».
Le travail était tout de même difficile. Je devais assister Mon Seigneur à la création des épées, porter de lourds matériaux que je venais de piocher aux mines qui n’étaient pas tout près du village. Mais Mon Seigneur était bon, alors je fus heureux bien que je commençais à l’envier de le voir vivre toutes ses aventures.
Hélas, au fur et a mesure du temps, le contact des membres diminuait et la guilde se dissipait peu a peu. Certains quittèrent Amakna pour d’autres destinations, et vint le tour du chef de la guilde de partir. Mon Seigneur resta pratiquement seul à représenter ce qui restait de la confrérie, continuant tant bien que mal à pratiquer ses occupations. Jusqu’au jour où il me dit partirait pour un long voyage pour certaines affaires et qu’il devrait me laissé a mon insu pour un petit bout de temps. Je n’ais pas osé lui demandé la raison de ce voyage, il est bien trop mystérieux.
C’était l’occasion rêvée pour moi de parcourir des terres inconnues pour vivre de nombreuses aventures formidables. Je réunis le peu de matériel que Mon Seigneur avait laissé à son départ, et partis à l’exploration des contrées d’Amakna.
Je compris des ce jour qu’il était difficile d’être aventurier. Devant se frayer un passage entre les Bouftous affamés et les Sangliers féroces, je luttais difficilement. Je perdais espoir, croyant que je resterais toute ma vie un fils de mineur et un serviteur dévoué. Mais c’est alors que je me trouvais en difficulté face à un puissant Abraknyde crachant des araignées venimeuses, un étrange petit homme vint à mon secours. Il se nommait Timeline-le Généreux et disais avoir le pouvoir de ralentir le temps. J’avoue avoir été très étonné de sa démonstration. J’ai rencontré bien d’autres compagnons par la suite, comme Xyo le petit être fée soignant les maux et trouvant toujours des solutions, Coucouille l’invocatrice un peu fofolle mais qui reste bien brave, Hugo le protecteur un peu râleur mais très courageux, et beaucoup d’autres dont certains je me souviens plus le nom.
Même si c’est dur parfois, je suis heureux d’être un vrai aventurier… jusqu’au retour de Mon Maître…