A l'aube d'une brumeuse et fraiche matinée et attendant avec impatience l'ouverture de la taverne, un homme à la peau défraichie lit d'un oeuil attentif une affichette placardée sur la porte de l'établissement.
Cette comunauté renomée désire s'agrandir... Serai t'il possible qu'elle accepte le paria que je suis , apres tout ma race ne m'a t'elle pas rejeté au nom d'une différence absurde, ne m'a t'elle pas accablée d'un nom qui va en opposition totale avec les compétences qui devraient etre les miennes. je ne peux etre responsable si ma mere à perdu la vie en me donnant naissance, si mon père n'a pas réussi a survivre a son chagrin et c'est laissé dévorer par 1 mulou sans 1 cri de douleur .
Essuyant la larme parcourant les crevasses de son visage l'homme pénetre dans la tarvernesous les regards haineux du maitre des lieux et d'un soifard a la peau violacée par les abus de ponch de blopcoco ingurgité.
il faut que sa change je ne veux plus etre se paria , je dois me reconstruire ,prendre confiance en mes capacitées, cette communauté peut etre la clé de mon salut.
Fini son verre d'un trait et sort d'un pas décidé.
Je m'en vais de suite a la rencontre d'un" suiveur" je dois le convaincre de la totale abnégation qui sera la mienne si je peux intégrer sa comunauté.